miercuri, 19 decembrie 2018

EN LISSANT LES PROVERBES - LA MORALE, poème de Melania Rusu Caragioiu




EN LISSANT LES PROVERBES

LA MORALE
poème
de Melania Rusu Caragioiu


~*~

La morale vient d’en haut.
De la Sainte main de Dieu,
Mais quand elle tombe par  la terre, elle peut se casser
En trouvant des pierres,
Or, elle peut s'endormir, tout de suite, sur un lit de plumes,
Or, elle peut s'ériger quand elle tombe vers  la balance de la justesse et de la justice,
Le meilleur et le plus rare des cas.

Donc pour l'empêcher de se détruire,
Et de rester  toute entière et pas altérée
Il doit  de lui faire, dans le premier cas, un  lit de  bon accueil,
Dans le deuxième, un lit avec quelques durci céments avec des paroles justes
Et dans le troisième  un piédestal pour un bon et un  intelligeant orateur.

Mais par ou peut-on trouver ces remèdes,
Quand la haine, le mal, la discorde,  les empêchent ?

Il faut prendre d'abord  le pain quotidien  pour tous,
Et, si on peut, aussi le pain quotidien de l'église, bénit par notre Dieu,

Puis la douceur de parler à tous de tous les âges
Sur le bienfait de la morale guérissante
Qui nous apporte la paix, la gratitude,
La richesse intérieure  et la richesse  d'alentour.

Chercher dans La Bible le passage des dix Commandements
Et les respecter....
À essayer... C'est très facile quand on les connaît...

Et, en fin,
Gratifier  les cas de réussite dans la vie,
Parmi les gens,
Sur ce simple chemin de la MORALE



L'ENVIE    
pagd  938

On croit que la vie est créé pour nous donner   des envies.
Les uns font parte de nos corps, et ses sensores,
Les autres  prennent leur fil  mauvais dans notre âme
Un fil qui s'enfile autour de notre cœur,
Qui lie notre gorge,
Qui devient douloureux
Dans notre poitrine comme un clou,
Dans notre cerveau comme en occupant tout son espace...

Quoi faire avec nous, et pas avec cette envie  ?
Il y a  beaucoup de remèdes... drôles !
Pleurer... à cause du succès d'autrui.
S'arracher le pauvre cheveu,
S'en frotter douloureusement les  mains,
Et beaucoup d'autres méthodes barbares...

Mais ou est-elle la raison ?
Mais ou est-il  le calme ?
Mais ou est ta qualité  d'être   parmi le  monde des gens ?
Donc, il faut raisonner  comme un pénitente"

La performance  de  celui que j'envie,  a un bon baguage;
Son baguage diffère du mien,
Par son IQ, par  son éducation, par sa force, par son talent
Donc, quant à moi, il me reste de l, 'égaler
Doucement, doucement, en travaillant
Pour m'en  accroitre mes qualités
En n'oubliant pas le grand mérite de la Sainte prière, et
Premièrement de remercier au performant pour son don  envers la société.


LA SOTTISE

Moto ,,Mieux vaut rencontrer une ourse qui a perdu ses  petits oursons, que de faire face â un sot orgueilleux” (LES PROVERBES)

Chacun  a ses défauts, c'est la loi d'équilibre,
Mais la sottise a beaucoup des frères:
La suffisance, le mauvais orgueil,  l’entêtement,
Qui tous proviennent de la famille, de l’éducation
Et de son défaut,
Le petit en n'avoir  suffisamment  de  matière cendrée.

La famille a le rôle de se signaler
Sur le baguage intellectuel de leurs enfants et
Et de réparer le mal dès la petite enfance.
Il y a  pleins de méthode parentales de le faire,
Et chaque parent connaît la méthode...
Mais à battre l'enfant c'est la pire méthode.
Ça l'inhibe le petit,  détruite son caractère,
Affaiblit  sa volonté et le résultat sera en  créant un mauvais sujet
Pour la société, premièrement, un individu violent et
Plus sot qu'il était.

Nous voyons par ici, aussi un sot parent,
Qui veut réparer la sottise avec des sottes méthodes.

On dit aussi,  ,, Tu es le résultat de ta nourriture’’.
Or, chaque famille a son budget,
Mais on peut empêcher l'enfant de ne pas boire de spiritueux,
De pas fumer, de pas exagérer avec le sucre, avec les grasse,
Et d’éviter le drogue. L’enseignant et la famille
Sont les plus bons  conseillants.

L'exercice intellectuel d'apprendre, de lire,
De parler des langues étrangères,
De faire des travaux très minutieux,
Et de lui demander d'essayer de travailler
Sur quoi il n'aime plus.

Mais tout, de nos parte avec le bon et calme conseil,
En l'encourageant et en le débrouillant.
En n'oubliant que Notre Dieu ne nous punit,
Chaque fois quand nous somme sots, récalcitrants,
Mal intentionnés.
Et, donc , pour quoi  à  nous, de commencer a poursuivre
Avec rage et violence les sottises du notre petit,
Né de nous, qui nous,
N'avons eu de lui transmetre plus de bien,
Beaucoup  de qualités ?



LA QUERELLE

La querelle c'est une flamme
C’est un caprice,
Quelqu'une qui échappe incontrôlée de nos gorges.
Qui fait rougir nos yeux,
Qui fait pencher  avec violence  le bras de la balance,
Vers nous, et encore vers nous.

L'état de la nervosité, incontrôlée
Nous donne la fausse  impression que seulement
Nous sommes les lésés,
Nous sommes les affectés,
Nous sommes les souffrants
Et l'autrui, d'en face de nous,
Notre ,,compagnon’’  de querelle
Il est le mauvais, l'oppresseur,
Qui vent de nous accuser
Avec ses mots de discorde,  totalement injustes !

L’autrui,  pense aussi sur moi
Et nous deux, nous sommes capables de nous jeter sans raison
Une pluie d'accusation,
Une pluie d'insultes.
Les plus grands blasphèms,
Et, au pire, on peut arriver à la violence,
Ou, devant le juge.

Il faut finir avec des disputes orgueilleuses.
Nous imposant un instant de jugement
Avant de répondre à la provocation,
À l'insulte,   à la  regarde féroce et offensante.

Premièrement,  il faut penser à la bonne manière​;
Les gens qui se querellent perdent de leur prestige,
Et amasse un péché.
On amasse l’amertume, la haine, la vengeance,
Tous inconvenant  pour l’ organisme
Et… des traces et durcissement sur le visage

Commettre le fait de la querelle c'est contrevenir aux mots de Jésus
qui nous enseigne vers la paix,
Vers la bon entente, au pardon et
Dans toute notre vie vers la modestie, l’humiliation
Et même une prière,  pour ce qui nous fait de mal.

Que doit faire pour nous restaurer après le flux négatif
Versé sur nous par un querelleur ?
Une prière pour qu'il devient un bon croyant,
Un être raisonnable.
Et on va voir aussi retomber sur nous la paix,
Le pardon et la  satisfaction d'avoir résister à la tentation du diable,
Toujours prèt, d’entretenir le feu de la querelle,
Mais dans un éclat, avant de répondre a la provocation,
Nous pouvons seulement nous taire
Et supporter la pluie des mots qui tombent sur nous, sans rien répondre.
Le mauvais interlocuteur va  se fatiguer,
Et peu à peu perdre le réchauffement.
Quand il sera  repoussé par son envie de querelle, on peut lui dire:
,,Et bien, partons-nous, avec le Dieu !’’

Quel est  l'incitant de la zizanie ?
C'est le Satan,

Dans une dispute grave, on voit l'intervention du juge
Il prononce avec beaucoup de calme la vérité.
Pour quoi ne  nous pouvons pas
Faire la paix amiablement entre nous,
Et à quoi sert notre entêtement jusqu'au jugement officiel ?
Sommes -nous d​’un tel aveuglement de ne pouvoir pas dialoguer,  au temps,
Mais  seulement âpres l'intervention d'une tierce personne


L’AMITIÉ

Seulement la croyance est plus forte que l’amitié
Un ami veut mourir  pour sauver l’être ami
Il partage tout avec celui, mais,  on doit être attentif
De ne pas se faire girant sur  les dettes de celui-
Action qui peut détruire  leur amitié.
Un ami connait les qualités et les défauts de cette personne,
Mais il le traite avec indulgence et avec des bons conseils
Il respecte les bonnes volontés de celui,
Il est le premier qui l’encourage,
Ils pleurent ensembles, ils rient ensemble.
Ils souffrent quand leur famille est contre cette amitié.
Leur amitié est fondée par le respect réciproque,
En n’important la clase sociale, et le dégré de l’éducation,
Entre eux existent la liaison du cœur,
La manière de voir sous le même angle la réalité,
D’avoir les mêmes goûts pour  la vie.
Une amitié forte est fondée par la sincérité,
Le dévouement   résiste à cause de sa solidarité.
Le bon Dieu apprécie l’amitié entre les gens,
Parce qu’IL voit les gens tous frères,
Ses fils, nés de Sa volonté et vivant sous Sa main,
Epargnés  par Lui et en n’existant nulle différence entre eux,
Que par leur degré de croyance dans la Divinité.


LA RICHERSSE

Quand l’homme  a été forcé de quitter l’Éden
Il a été tout plein de qualités… sauf d’une…
Il possédait  à son issue  des mains  du Dieu toutes les  qualités,
Accordés lui par  son Créateur.
L’ange noir,  de la  suite du diable, le serpent,
A réussit de  lui rompre  sa première qualité, l’écoute.
L’écoute, la force de respecter l’interdiction,
Celle de ne pas manger le  fruit défendu,
Qui était la preuve de sa soumission à la consigne donnée lui par Dieu.
Sous l’influence du mal, Adam a commis sa première faute,
La faute capitale. Donc il a donné la preuve de sa faiblesse
En devenant mal obéissant  et peux responsable sur ses faits.

En arrivant sur la terre, il avait  encore tous ses qualités
Mais jour-a-jour il a commencé à les perdre
Sous l’influence des difficultés dans sa nouvelle vie,
En s’éloignant, peu à peu, de sa forte croyance en Dieu.

Parce que sa vie et  sa famille devait être assuré  par le travail aride
Il commença à faire des provisions … et voilà
Le  premier grain de la future, richesse.
Pendant les 7526 ans de la ,,naissance’’ d’ Adam
Les générations ont ramassé de toute sorte,
Pendant l’évolution de la civilisation de l’individu.
En déployant  trop cette occupation – l’amasse des biens,
Occupation devenu pour les uns,  d’envie maladive.
Cette soif d’accumuler avec tout prix, par toutes les voies
Ont mené au cout de  perdre d’autres  et d’autres  qualités humaines
Et faire place aux défauts capitaux, ou non, tous devenus  motifs des péchés.
Parce que l’amasse de la richesse dans les circonstances
De la perpétuelle pénurie,  de toute sorte de biens
Est devenue une lutte continuelle,
Entre les gens forts et les gens faibles, les premiers en dépassant
Le cumul des biens pour leur nécessaire, en devenir riches,
Ou trop riches, parmi le monde des démunis.
Et comme ça,  au le lieu du don, du  troc  simple,
Comme possibilité de se procurer  ce qui  manquait,
En raison  de pas faire des dons, on inventé la monnaie.
La monnaie, comme échange contre  ce  qui était nécessaire  à l’autrui,
Dans l’opération de vendre, de ses bien ramassés sans mesure,
Aux faibles et aux pauvres affamés et vulnérables
Qui ne pouvait  tenir  le pas à ,,Cueillir’’ les biens existantes.

Le travail  et le don de Dieu qui ne quitte pas ses créatures,
Pour tous les gens, Le Dieu a stimulé  le cerveau,
Pour qu’ils peuvent  faire  le progresse  et  des inventions,
Pour faciliter leur vie.
A partir de ce moment sur la terre s’est installée la différence sociale.
Chacun a commencé  de vivre à  sa capacité.
Une concurrence à la vie et à la morte, bien dissimulé, domine la vie.
On trouve à peine les anciennes qualités,  dont leur place a été prise par les défauts,
Défauts qui sont dans le même temps des péchés.
Ces défauts dans les mains des  riches peuvent devenir   mêmes de l’atrocité
Quand l’on demande de  payer dessus la limite de potentiel des pauvres-
Les gens qui travaillent pour le domaine de la richesse des autres.
Et comme ça, dans la société, de la parte de tous exploités et exploiteurs
Les qualités humaines vont en bas, et les défauts  s’augmentent…
La seule qui peut faire l’égalité, la paix sociale,
C’est de nous retourner vers le premier temps de la croyance,
Vers notre grand baguage de qualités héritées,
En découpant de notre conscience tous les mauvaises attitudes,
Les moyens de rapacité de toute sorte,
D’instaurer le partage social des biens existants dans la nature,
De convenir sur l‘entraide sociale,
Et de renoncer à tenir sous notre clé les destins des autre gens,
Par l’envie de ramasser tout  sous  notre main,
En dépit  des autres, par tous les moyens que nous  nous forçons de les avoir…


LA  BONNE CROYANCE

En dirent,  ,, croyance’’, c’est prononcer d’une  full de qualités, sans équivoque
C’est quelque de vitale  qui vient de ton plus profond intérieur,
C’est plus que le dévouement,
C’est son humiliation profonde devant le grand sentiment
Qui est la croyance.
Le fanatisme, le mauvais résonnement de  vengeance, les pressions,
Le fait d’imposer a  quelqu’un tes principes,
C’est totalement à l’envers de la croyance.
La croyance est sublime,  envahissante, bonne, douce, régénératrice,
C’est dresser  ta main vers le Dieu
En espérant que dans sa miséricorde  LE TOUTPUISSANT le prend dans sa main pour l’aider.
Nous avons toujours besoin d’un aide céleste,
Dans toutes nos activités, dans nos songes, dans nos actes vitaux.
Donc la croyance est le parti idéal qui enlève notre esprit,
Notre corps et qui tient encore en nous l’âme
qui a été nous donné  comme emprunte  pour quelque temps
et qui, en étant appellé, s’en va de nouveau
dans les mains, dans la force universelle du Créateur


LA CONSCIENCE

La conscience est la complexité des bons sentiments.
C’est-à-dire  de faire seulement le bien avec toutes ses fibres de son corps.
Et avec chacun de ses neurones. , sans hésiter.
La conscience est la sublime soumission chez les commandements de Dieu,
Sans se départager ni avec la distance d’un fil de cheveux.
C’est la conscience accompli par les saints.
C’est la  grande merveille d’une vie, autrement trouvée.
Qund on vit sur la terre parmi les turpitudes de la vie,
Parmi les gens de toute sorte il est plus difficile
de pouvoir pratiquer la juste et la totale conscience,
Mais sa dépend de chaque individu
Pour a se joindre à la loi  de la conscience.
On dit d’avoir conscience  sur qui respectent des lois,
les droits d’autrui,  et de dédier   son travail pour le Dieu, la société et à sa famille.
Dans sa plus juste perfection,
De  porter son obligation avec  patience, bienveillance,
joie, modestie et  sans rancune,
sans se comparer avec les autre plus,  ou moins travailleurs que soi,
Il comprend que la capacité physique et intellectuelle diffère de l’individu à l’individu
et il évite de se comparer  avec les autres
Il se compare seulement avec  ses réserves d’énergie.
C’est une définition  sur l’état de la  conscience commune aux bons terriens
Cette conscience leur incombe la supériorité du jugement,
Un contentement de soi, un grand prestige, et toujours le don de l’Esprit Saint
Ils n’ont pas de fatigue, ni d’insomnie, ni un complexe d’infériorité,
Mais toujours ils ont  le Bon Dieu dans leur cœur.


LA MECHANSETÉ

On doit dire : «Que dieu nous épargne d’un méchant’’
Un méchant cumule en soi seulement de la poison,
La brutalité masquée, le verbe doux
Pour pouvoir te dévoiler devant lui
Et puis il vend tes secrets pour obtenir pour soi des avantages,
un  bon renommé, et pour te détruire  au sein de la sociétés.
Il va augmenter tes plaintes, ou tes sincérités,
Il sera plein de satisfaction envers tes angoisses, tes douleurs.
Son âme est noire et il se sent  content quand il lance la discorde,
le malheur, la zizanie.
Il a aussi sa cupide qualité de savoir se tirer soi-même des complications qu’il les a déclenchés
Il fait  n’avoir rien raconté de faux,  et même, il peut affirmer qu’il  a été une  erreur,
de la part de toi, comme pas en venant de lui,  la mauvaise information.
Cet individu se trouve dans l’assemblé des traitres,
Dans  le groupage  de les plus pires des laquais,
dans le sens d’un mot injurieux de l’appellatif  ,,laquais’’..
Si tu es tombé dans la trappe d’un méchant, tu ne peux pas trouver jamais ton calme.
Autour de  toi,  tu ne trouveras pas  d’ici avant,
Ni une  ambiance  propice, mais le contraire.
Peut-être que Dieu veut de la part de toi une pénitence
Ou il te donne un signal que tu L’as oublié.
Donc pour prendre   une repose de cette pression
tu devra implorer le Bon Dieu et chercher par ta prière
le calme perdu à cause d’un méchante.


LA  PRIÈRE

On raconte qu’un russe voulait  aller à Jérusalem
Mais il n’avait pas l’or nécessaire pour voyager
Mais il avait toujours dans son âme la prière
Il trouvait des prières pour tous ses besoins et sa vie était claire, tranquille
et avec le pain pour toutes les journées
Quand il avança en son âge vers le trentième il  a senti le désir d’aller dans les Terres Saintes.
Il se souviendra d’une prière surnommé : ..La prière de Jesus’’,
Une prière qui dit: ,, Jésus, aide-moi !’’,
Donc, en faisant ses petits préparatifs pour partir,
il commença a dire cette courte prière.
Cette prière envahissa si bien son cœur,
Qu’il le répéta, sans cesse et en songeant vers son voyage,
Vers le Dieu et vers les saintes merveilles de Jérusalem,
Mais  il savait qu’une bonne prière
Doit être prononcé aussi avec ses lèvres,
Haut ou  tout, tout bas, mais prononcé.
En pratiquant cette prière il parti à pied  vers  son rêve religieux.
Il trouva dans sa route des gens miséricordieux,
Et par là il pouvait dormir et manger,
En ayant comme passeport  la parole :
,,Avec  l’aide de Dieu je m’en vais à Jérusalem’’.
Mais dans tout le temps il récitait sa poésie= prière.
Un de ses hôtes observa notre croyant,
pendant le repas,  que les lèvres de cet homme sont continuellement en etrange mouvement.
Il lui le  demanda et la réponse  est venue
Avec l’affirmation qu’il vient de répéter machinalement
Et toujours il continua  la petite et chaude prière vers Jésus.
L’hôte curieux   a commencé à calculer la fréquence des prière
et il constata que notre pèlerin faisait pendant la journée jusqu’à 12.000 de telles prières.
Depuis,  a commencé à parler sur ce pèlerin
e t les croyants et même les curieux  ont eu des résultats dans leur demande,
Mais seulement pour une cause droite.
Jamais on n’a pas parlé sur un deuxième
Qui dirait de bon matin jusqu’au  soir cette prière
Mais à cause de leur croyance,
et  la cause droite invoqué, ils ont été tous exaucés
Parce l’ecclésiaste dit :
«Il ny a pas  le cas d’invoquer Dieu, sans être exaucé,
Si la cause invoquée est droite,
Mais si Dieu qui sait tout, et tout sur le futur,
IL peut remplacer  le don invoqué,

Avec un autre don, ou bienfait,  plus nécessaire.








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