EN
LISSANT LES PROVERBES
LA
MORALE
poème
de
Melania Rusu Caragioiu
~*~
La
morale vient d’en haut.
De la
Sainte main de Dieu,
Mais
quand elle tombe par la terre, elle peut se casser
En
trouvant des pierres,
Or,
elle peut s'endormir, tout de suite, sur un lit de plumes,
Or,
elle peut s'ériger quand elle tombe vers la balance de la justesse et de
la justice,
Le
meilleur et le plus rare des cas.
Donc
pour l'empêcher de se détruire,
Et de
rester toute entière et pas altérée
Il
doit de lui faire, dans le premier cas, un lit de bon accueil,
Dans le
deuxième, un lit avec quelques durci céments avec des paroles justes
Et dans
le troisième un piédestal pour un bon et un intelligeant orateur.
Mais
par ou peut-on trouver ces remèdes,
Quand
la haine, le mal, la discorde, les empêchent ?
Il faut
prendre d'abord le pain quotidien pour tous,
Et, si
on peut, aussi le pain quotidien de l'église, bénit par notre Dieu,
Puis la
douceur de parler à tous de tous les âges
Sur le
bienfait de la morale guérissante
Qui
nous apporte la paix, la gratitude,
La
richesse intérieure et la richesse d'alentour.
Chercher
dans La Bible le passage des dix Commandements
Et les
respecter....
À
essayer... C'est très facile quand on les connaît...
Et, en
fin,
Gratifier
les cas de réussite dans la vie,
Parmi
les gens,
Sur ce
simple chemin de la MORALE
L'ENVIE
pagd 938
On
croit que la vie est créé pour nous donner des envies.
Les uns
font parte de nos corps, et ses sensores,
Les
autres prennent leur fil mauvais dans notre âme
Un fil
qui s'enfile autour de notre cœur,
Qui lie
notre gorge,
Qui
devient douloureux
Dans
notre poitrine comme un clou,
Dans
notre cerveau comme en occupant tout son espace...
Quoi
faire avec nous, et pas avec cette envie ?
Il y
a beaucoup de remèdes... drôles !
Pleurer...
à cause du succès d'autrui.
S'arracher
le pauvre cheveu,
S'en
frotter douloureusement les mains,
Et beaucoup
d'autres méthodes barbares...
Mais ou
est-elle la raison ?
Mais ou
est-il le calme ?
Mais ou
est ta qualité d'être parmi le monde des gens ?
Donc,
il faut raisonner comme un pénitente"
La performance de celui que j'envie, a un bon baguage;
Son
baguage diffère du mien,
Par son
IQ, par son éducation, par sa force, par son talent
Donc,
quant à moi, il me reste de l, 'égaler
Doucement,
doucement, en travaillant
Pour
m'en accroitre mes qualités
En
n'oubliant pas le grand mérite de la Sainte prière, et
Premièrement
de remercier au performant pour son don envers la société.
LA
SOTTISE
Moto
,,Mieux vaut rencontrer une ourse qui a perdu ses petits oursons, que de
faire face â un sot orgueilleux” (LES PROVERBES)
Chacun a ses défauts, c'est la loi d'équilibre,
Mais la
sottise a beaucoup des frères:
La suffisance,
le mauvais orgueil, l’entêtement,
Qui
tous proviennent de la famille, de l’éducation
Et de
son défaut,
Le
petit en n'avoir suffisamment de matière cendrée.
La
famille a le rôle de se signaler
Sur le
baguage intellectuel de leurs enfants et
Et de
réparer le mal dès la petite enfance.
Il y
a pleins de méthode parentales de le faire,
Et
chaque parent connaît la méthode...
Mais à
battre l'enfant c'est la pire méthode.
Ça
l'inhibe le petit, détruite son caractère,
Affaiblit
sa volonté et le résultat sera en créant
un mauvais sujet
Pour la
société, premièrement, un individu violent et
Plus
sot qu'il était.
Nous
voyons par ici, aussi un sot parent,
Qui
veut réparer la sottise avec des sottes méthodes.
On dit
aussi, ,, Tu es le résultat de ta
nourriture’’.
Or,
chaque famille a son budget,
Mais on
peut empêcher l'enfant de ne pas boire de spiritueux,
De pas
fumer, de pas exagérer avec le sucre, avec les grasse,
Et
d’éviter le drogue. L’enseignant et la famille
Sont
les plus bons conseillants.
L'exercice
intellectuel d'apprendre, de lire,
De
parler des langues étrangères,
De
faire des travaux très minutieux,
Et de
lui demander d'essayer de travailler
Sur
quoi il n'aime plus.
Mais
tout, de nos parte avec le bon et calme conseil,
En
l'encourageant et en le débrouillant.
En
n'oubliant que Notre Dieu ne nous punit,
Chaque
fois quand nous somme sots, récalcitrants,
Mal
intentionnés.
Et, donc
, pour quoi à nous, de commencer a poursuivre
Avec
rage et violence les sottises du notre petit,
Né de
nous, qui nous,
N'avons
eu de lui transmetre plus de bien,
Beaucoup
de qualités ?
LA
QUERELLE
La
querelle c'est une flamme
C’est
un caprice,
Quelqu'une
qui échappe incontrôlée de nos gorges.
Qui
fait rougir nos yeux,
Qui
fait pencher avec violence le bras de la balance,
Vers
nous, et encore vers nous.
L'état
de la nervosité, incontrôlée
Nous
donne la fausse impression que seulement
Nous
sommes les lésés,
Nous
sommes les affectés,
Nous
sommes les souffrants
Et
l'autrui, d'en face de nous,
Notre ,,compagnon’’
de querelle
Il est
le mauvais, l'oppresseur,
Qui
vent de nous accuser
Avec
ses mots de discorde, totalement injustes !
L’autrui,
pense aussi sur moi
Et nous
deux, nous sommes capables de nous jeter sans raison
Une
pluie d'accusation,
Une
pluie d'insultes.
Les
plus grands blasphèms,
Et, au pire,
on peut arriver à la violence,
Ou,
devant le juge.
Il faut
finir avec des disputes orgueilleuses.
Nous
imposant un instant de jugement
Avant
de répondre à la provocation,
À
l'insulte, à la regarde féroce et offensante.
Premièrement,
il faut penser à la bonne manière;
Les
gens qui se querellent perdent de leur prestige,
Et amasse
un péché.
On amasse
l’amertume, la haine, la vengeance,
Tous
inconvenant pour l’ organisme
Et… des
traces et durcissement sur le visage
Commettre
le fait de la querelle c'est contrevenir aux mots de Jésus
qui
nous enseigne vers la paix,
Vers la
bon entente, au pardon et
Dans
toute notre vie vers la modestie, l’humiliation
Et même
une prière, pour ce qui nous fait de mal.
Que
doit faire pour nous restaurer après le flux négatif
Versé
sur nous par un querelleur ?
Une
prière pour qu'il devient un bon croyant,
Un être
raisonnable.
Et on
va voir aussi retomber sur nous la paix,
Le pardon
et la satisfaction d'avoir résister
à la tentation du diable,
Toujours
prèt, d’entretenir le feu de la querelle,
Mais
dans un éclat, avant de répondre a la provocation,
Nous
pouvons seulement nous taire
Et supporter
la pluie des mots qui tombent sur nous, sans rien répondre.
Le
mauvais interlocuteur va se fatiguer,
Et peu
à peu perdre le réchauffement.
Quand
il sera repoussé par son envie de querelle,
on peut lui dire:
,,Et
bien, partons-nous, avec le Dieu !’’
Quel
est l'incitant de la zizanie ?
C'est
le Satan,
Dans une
dispute grave, on voit l'intervention du juge
Il prononce
avec beaucoup de calme la vérité.
Pour
quoi ne nous pouvons pas
Faire
la paix amiablement entre nous,
Et à
quoi sert notre entêtement jusqu'au jugement officiel ?
Sommes
-nous d’un tel aveuglement de ne pouvoir pas dialoguer, au temps,
Mais seulement âpres l'intervention d'une tierce
personne
L’AMITIÉ
Seulement
la croyance est plus forte que l’amitié
Un ami
veut mourir pour sauver l’être ami
Il
partage tout avec celui, mais, on doit être
attentif
De ne
pas se faire girant sur les dettes de
celui-
Action
qui peut détruire leur amitié.
Un ami
connait les qualités et les défauts de cette personne,
Mais il
le traite avec indulgence et avec des bons conseils
Il respecte
les bonnes volontés de celui,
Il est
le premier qui l’encourage,
Ils
pleurent ensembles, ils rient ensemble.
Ils souffrent
quand leur famille est contre cette amitié.
Leur amitié
est fondée par le respect réciproque,
En n’important
la clase sociale, et le dégré de l’éducation,
Entre
eux existent la liaison du cœur,
La manière
de voir sous le même angle la réalité,
D’avoir
les mêmes goûts pour la vie.
Une
amitié forte est fondée par la sincérité,
Le dévouement
résiste
à cause de sa solidarité.
Le bon
Dieu apprécie l’amitié entre les gens,
Parce
qu’IL voit les gens tous frères,
Ses
fils, nés de Sa volonté et vivant sous Sa main,
Epargnés
par Lui et en n’existant nulle différence
entre eux,
Que par
leur degré de croyance dans la Divinité.
LA RICHERSSE
Quand
l’homme a été forcé de quitter l’Éden
Il a
été tout plein de qualités… sauf d’une…
Il possédait à son issue
des mains du Dieu toutes les qualités,
Accordés
lui par son Créateur.
L’ange noir, de la
suite du diable, le serpent,
A
réussit de lui rompre sa première qualité, l’écoute.
L’écoute,
la force de respecter l’interdiction,
Celle de
ne pas manger le fruit défendu,
Qui
était la preuve de sa soumission à la consigne donnée lui par Dieu.
Sous
l’influence du mal, Adam a commis sa première faute,
La
faute capitale. Donc il a donné la preuve de sa faiblesse
En
devenant mal obéissant et peux
responsable sur ses faits.
En arrivant
sur la terre, il avait encore tous ses
qualités
Mais
jour-a-jour il a commencé à les perdre
Sous l’influence
des difficultés dans sa nouvelle vie,
En
s’éloignant, peu à peu, de sa forte croyance en Dieu.
Parce
que sa vie et sa famille devait être
assuré par le travail aride
Il
commença à faire des provisions … et voilà
Le premier grain de la future, richesse.
Pendant
les 7526 ans de la ,,naissance’’ d’ Adam
Les
générations ont ramassé de toute sorte,
Pendant
l’évolution de la civilisation de l’individu.
En
déployant trop cette occupation –
l’amasse des biens,
Occupation
devenu pour les uns, d’envie maladive.
Cette
soif d’accumuler avec tout prix, par toutes les voies
Ont
mené au cout de perdre d’autres et d’autres
qualités humaines
Et
faire place aux défauts capitaux, ou non, tous devenus motifs des péchés.
Parce
que l’amasse de la richesse dans les circonstances
De la perpétuelle
pénurie, de toute sorte de biens
Est devenue
une lutte continuelle,
Entre les
gens forts et les gens faibles, les premiers en dépassant
Le
cumul des biens pour leur nécessaire, en devenir riches,
Ou trop
riches, parmi le monde des démunis.
Et
comme ça, au le lieu du don, du troc
simple,
Comme
possibilité de se procurer ce qui manquait,
En
raison de pas faire des dons, on inventé
la monnaie.
La
monnaie, comme échange contre ce qui était nécessaire à l’autrui,
Dans l’opération
de vendre, de ses bien ramassés sans mesure,
Aux
faibles et aux pauvres affamés et vulnérables
Qui ne
pouvait tenir le pas à ,,Cueillir’’ les biens existantes.
Le
travail et le don de Dieu qui ne quitte
pas ses créatures,
Pour
tous les gens, Le Dieu a stimulé le
cerveau,
Pour
qu’ils peuvent faire le progresse
et des inventions,
Pour
faciliter leur vie.
A
partir de ce moment sur la terre s’est installée la différence sociale.
Chacun
a commencé de vivre à sa capacité.
Une concurrence
à la vie et à la morte, bien dissimulé, domine la vie.
On
trouve à peine les anciennes qualités,
dont leur place a été prise par les défauts,
Défauts
qui sont dans le même temps des péchés.
Ces défauts
dans les mains des riches peuvent
devenir mêmes de l’atrocité
Quand l’on demande de payer dessus la limite de potentiel des
pauvres-
Les gens qui travaillent pour le
domaine de la richesse des autres.
Et comme ça, dans la société, de la
parte de tous exploités et exploiteurs
Les qualités humaines vont en bas, et
les défauts s’augmentent…
La seule qui peut faire l’égalité, la
paix sociale,
C’est de nous retourner vers le
premier temps de la croyance,
Vers notre grand baguage de qualités
héritées,
En découpant de notre conscience tous
les mauvaises attitudes,
Les moyens de rapacité de toute
sorte,
D’instaurer le partage social des
biens existants dans la nature,
De convenir sur l‘entraide sociale,
Et de renoncer à tenir sous notre clé
les destins des autre gens,
Par l’envie de ramasser tout sous notre main,
En dépit des autres, par tous les moyens que nous nous forçons de les avoir…
LA
BONNE CROYANCE
En dirent, ,, croyance’’, c’est prononcer d’une full de qualités, sans équivoque
C’est quelque de vitale qui vient de ton plus profond intérieur,
C’est plus que le dévouement,
C’est son humiliation profonde devant
le grand sentiment
Qui est la croyance.
Le fanatisme, le mauvais résonnement
de vengeance, les pressions,
Le fait d’imposer a quelqu’un tes principes,
C’est totalement à l’envers de la
croyance.
La croyance est sublime, envahissante, bonne, douce, régénératrice,
C’est dresser ta main vers le Dieu
En espérant que dans sa miséricorde LE TOUTPUISSANT le prend dans sa main pour l’aider.
Nous avons toujours besoin d’un aide
céleste,
Dans toutes nos activités, dans nos
songes, dans nos actes vitaux.
Donc la croyance est le parti idéal qui
enlève notre esprit,
Notre corps et qui tient encore en
nous l’âme
qui a été nous donné comme emprunte pour quelque temps
et qui, en étant appellé, s’en va de
nouveau
dans les mains, dans la force
universelle du Créateur
LA CONSCIENCE
La conscience est la complexité des
bons sentiments.
C’est-à-dire de faire seulement
le bien avec toutes ses fibres de son corps.
Et avec chacun de ses neurones. ,
sans hésiter.
La conscience est la sublime soumission
chez les commandements de Dieu,
Sans se départager ni avec la
distance d’un fil de cheveux.
C’est la conscience accompli par les
saints.
C’est la grande merveille d’une vie, autrement
trouvée.
Qund on vit sur la terre parmi les
turpitudes de la vie,
Parmi les gens de toute sorte il est
plus difficile
de pouvoir pratiquer la juste et la
totale conscience,
Mais sa dépend de chaque individu
Pour a se joindre à la loi de la conscience.
On dit d’avoir conscience sur qui respectent des lois,
les droits d’autrui, et de dédier
son travail pour le Dieu, la
société et à sa famille.
Dans sa plus juste perfection,
De
porter son obligation avec patience,
bienveillance,
joie, modestie et sans rancune,
sans se comparer avec les autre plus,
ou moins travailleurs que soi,
Il comprend que la capacité physique
et intellectuelle diffère de l’individu à l’individu
et il évite de se comparer avec les autres
Il se compare seulement avec ses réserves d’énergie.
C’est une définition sur l’état de la conscience commune aux bons terriens
Cette conscience leur incombe la supériorité
du jugement,
Un contentement de soi, un grand prestige,
et toujours le don de l’Esprit Saint
Ils n’ont pas de fatigue, ni d’insomnie,
ni un complexe d’infériorité,
Mais toujours ils ont le Bon Dieu dans leur cœur.
LA MECHANSETÉ
On doit dire : «Que dieu nous
épargne d’un méchant’’
Un méchant cumule en soi seulement de
la poison,
La brutalité masquée, le verbe doux
Pour pouvoir te dévoiler devant lui
Et puis il vend tes secrets pour
obtenir pour soi des avantages,
un bon renommé, et pour te détruire au sein de la sociétés.
Il va augmenter tes plaintes, ou tes sincérités,
Il sera plein de satisfaction envers
tes angoisses, tes douleurs.
Son âme est noire et il se sent content quand il lance la discorde,
le malheur, la zizanie.
Il a aussi sa cupide qualité de
savoir se tirer soi-même des complications qu’il les a déclenchés
Il fait n’avoir rien raconté de faux, et même, il peut affirmer qu’il a été une erreur,
de la part de toi, comme pas en venant
de lui, la mauvaise information.
Cet individu se trouve dans l’assemblé
des traitres,
Dans le groupage
de les plus pires des laquais,
dans le sens d’un mot injurieux de l’appellatif
,,laquais’’..
Si tu es tombé dans la trappe d’un
méchant, tu ne peux pas trouver jamais ton calme.
Autour de toi, tu
ne trouveras pas d’ici avant,
Ni une ambiance propice, mais le contraire.
Peut-être que Dieu veut de la part de
toi une pénitence
Ou il te donne un signal que tu L’as
oublié.
Donc pour prendre une repose de cette pression
tu devra implorer le Bon Dieu et
chercher par ta prière
le calme perdu à cause d’un méchante.
LA
PRIÈRE
On raconte qu’un russe voulait aller à Jérusalem
Mais il n’avait pas l’or nécessaire pour
voyager
Mais il avait toujours dans son âme
la prière
Il trouvait des prières pour tous ses
besoins et sa vie était claire, tranquille
et avec le pain pour toutes les
journées
Quand il avança en son âge vers le
trentième il a senti le désir d’aller
dans les Terres Saintes.
Il se souviendra d’une prière surnommé :
..La prière de Jesus’’,
Une prière qui dit: ,, Jésus, aide-moi
!’’,
Donc, en faisant ses petits préparatifs
pour partir,
il commença a dire cette courte
prière.
Cette prière envahissa si bien son
cœur,
Qu’il le répéta, sans cesse et en
songeant vers son voyage,
Vers le Dieu et vers les saintes merveilles
de Jérusalem,
Mais il savait qu’une bonne prière
Doit être prononcé aussi avec ses lèvres,
Haut ou tout, tout bas, mais prononcé.
En pratiquant cette prière il parti à
pied vers son rêve religieux.
Il trouva dans sa route des gens miséricordieux,
Et par là il pouvait dormir et
manger,
En ayant comme passeport la parole :
,,Avec l’aide de Dieu je m’en vais à Jérusalem’’.
Mais dans tout le temps il récitait
sa poésie= prière.
Un de ses hôtes observa notre croyant,
pendant le repas, que les lèvres de cet homme sont
continuellement en etrange mouvement.
Il lui le demanda et la réponse est venue
Avec l’affirmation qu’il vient de répéter
machinalement
Et toujours il continua la petite et chaude prière vers Jésus.
L’hôte curieux a commencé à calculer la fréquence des
prière
et il constata que notre pèlerin
faisait pendant la journée jusqu’à 12.000 de telles prières.
Depuis, a commencé à parler sur ce pèlerin
e t les croyants et même les curieux ont eu des résultats dans leur demande,
Mais seulement pour une cause droite.
Jamais on n’a pas parlé sur un
deuxième
Qui dirait de bon matin jusqu’au soir cette prière
Mais à cause de leur croyance,
et
la cause droite invoqué, ils ont été tous exaucés
Parce l’ecclésiaste dit :
«Il ny a pas le cas d’invoquer Dieu, sans être exaucé,
Si la cause invoquée est droite,
Mais si Dieu qui sait tout, et tout
sur le futur,
IL peut remplacer le don invoqué,
Avec un autre don, ou bienfait, plus nécessaire.
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