SUR
LE DROIT DES FEMMES, ( à la marge du livre ,, Le Api
morte- Albinele moarte (Les Abeilles mortes) de Paolo Mele, Italie.
Exposé pour présentation devant l’Assemblée
montréalaise de la communauté ethnique
de Venezuela, organisé sous l’égide
de L’Ambasse de Venezuela.
Par Melania Rusu Caragioiu,
écrivain, poétesse, publiciste.
Chers lecteurs, chère assistence, je vous prie de me permettre de me présenter devant vous pour
lancer un livre - manifeste dédié
aux femmes du monde ayant pour but de vous attirer de notre coté, pour ce
désidérat, pour le bien dans le monde.
Je
suis membre de L’Association des Écrivains Roumains, de L’Association Canadienne des Écrivains
Roumains, et de plusieurs clubs et
cercles littéraires français et roumains de Montréal, et de Roumanie, Timishoara.
Après quarante ans d’activité littéraire j’ai
11 livres des poèmes parus, 5 livres
pour enfants (format papier et un livre on
line), et 6 livres pour adultes. Je publie dans des journaux et revues et je
suis la collaboratrice permanente de la revue communautaire Multivox depuis sa
fondation.
Mais aujourd’hui je ne veux pas présenter
un de mes livres, mais un livre italo - roumain. Le sujet de ce livre vient
d’un désir social, la lutte contre la violence sur les femmes.
Le livre appartient à M. Paolo Mele, le
réputé avocat de la Marine de Venice, conseiller
national, avocat très sollicité pour les droits de l’homme, à Vicenza, Italie, et le Président de L’Association de la lutte
contre la violence sur les femmes. Cette
association a été fondée il y a 5 ans et chaque année au 25 novembre on fête ce
grand événement international.
Mais, avant de la présentation de ce livre
j’aimerais expliquer comment ce livre se trouve entre mes mains.
Ici
au Canada, je suis aussi un des membres fondateurs du Cercle littéraire ,,Anneau
poétique’’ qui fonctionne sous l’égide
Progenesis avec coordonatrice Sandy Solejma, son siège étant sur la rue
Appleton dans l’arrondissement Cotes de
neiges. Dans le cadre de cet organisme ont lieu des activités d’entraide, sociale, culturelles
et qui sont possibles grâce à la communauté montréalaise. Ainsi j‘ai suis devenue
une bénévole dans la communauté multiethnique.
Je publie dans des plaquettes/anthologies collectives,
héroïne d’un film tourné à l’Université UQAM de Montréal, et je sors
aussi dans la rue, pour accompagner la
voix de plus pauvres.
Pendant une de ses visites en Roumanie, une
de mes amies d’Italie a recueillit lors des activités littéraires des poèmes,
dont quelques m’appartenant, en les
apportant avec elle à son retour. Ces poèmes
ont été vus par l’auteur de ce livre, Paolo Méle qui en appréciant leur
qualités féministes, a eu la bonne idée de les introduire dans ce volume ,, Le
Api Morte, Les Abeilles Mortes’’. Mon amie, Teodora Stanciu est aussi la
traductrice de ce volume.
C’est ainsi que j’ai reçu ce livre, une fois
publié. Comme je suis une personne qui lutte selon mes possibilités pour les droits de l’homme, j’ai accepté avec
plaisir de faire la présentation de ce livre qui a aborde la thématique de la lutte
contre la violence sur les femmes.
Je vous présente donc ce livre bilingue
italo - roumain: ,,LE API MORTE, LES
ABEILLES MORTES’’, ce titre
allégorique suggérant la vie de la femme dans le monde.
On
sait que dans une ruche le travail est très organisé. L’abeille laborieuse vit
seulement 20 jour et puis courbée, épuisée par son travail elle succombe.
D’autres abeilles aussi des abeilles laborieuses la tire dehors de la ruche car
elle devient un cadavre inutile.
Donc, après sa mort, dépouillée de son utilité,
l’abeille est jetée comme un ballaste
nocif, tout comme les autres abeilles
laborieuses qui à leur tour auront le
même destin.
Dans quelques lieux sur terre que nous le
désirons de plus en plus rares, la femme, la dite abeille, a seulement un grand
droit, celui de travailler sans répit, jusqu'à son épuisement, en supportant
aussi la violence et l’atrocité sous
toutes formes en famille et dans la société. Et tout çà jusqu’à l’anéantir
totalement physiquement et moralement. Dans certains cas, sa chance unique de
se sauver est la mort libératrice, elle souffre donc toute sa vie ce calvaire
jusqu’à sa mort.
Dans ce contexte il se doit de raconter qu’à Timishoara, en Roumanie, dans cette
ville martyr de la révolution de 1989,
les démonstrations pour les droites de l’homme ont commencé le 16 novembre 2014, devenue la journée internationale de la
lutte contre la violence envers les femmes, en continuant avec diverses formes
de manifestations sociales , politiques
et culturelles pendant 16 jour, jusqu’au 25 décembre 2014, sous le slogan ,,
SOIS LA VOIX DE CEUX SANS VOIX !’’.
Cette ville, Timishoara est situé dans
Roumanie, dans la région occidentale du
pays.
Elle est un centre multiethnique et multiculturel qui a la chance de devenir
au futur, pour un an, la capitale culturelle européenne. Là, pendant ces événements, ce livre que j’ai dans les mains ,,LE API MORTE _ ALBINELE MOARTE’’ a été présenté
comme un moyen de sensibiliser l’opinion
mondiale, aussi sur
l’impérieux mode d’être
radicalement échangé, la ou il est le cas, du comportement vis-à -vis de la
femme, cette abeille laborieuse , la mère de l’humanité.
J’ai
ici, une cassette vidéo d’une
des manifestations culturelles, occasion
avec quelle les poésies des poétesses de Timishoara, aussi la mienne, sur cette
thème et incluses dans ce livre, ont été lu comme argument pour les droits des femmes du monde entier.
Originaire de cette ville Timishoara, j’ai
suggéré a mon amie, la traductrice de ce livre, de m’envoyer ce ici au Canada,
ayant en attachement aussi, cette
cassette vidéo.
L’auteur, Paolo Mele a exprimé son désir
d’avoir une nouvelle édition de son
livre et son désir a été accompli. Ce
livre, si sollicité est paru, donc, aussi, dans une maison d’édition de Roumanie,
à Cluj-Napoca.
L’auteur s’est déclaré content, même enchanté de l’occasion que moi même, une des signataires des poèmes de ce livre, fasse la présentation de son
livre au Canada, à Montréal, au ,,Club d’or’’.
Paolo Mele a exprimé sa doléance qu’une femme s‘exprime sur la voix, sur le message de ce livre, et même sur l’importance
de ce livre qui démontre la solidarité des gens envers la lutte contre la
violence sur la femme.
Donc, dans cette introduction on voit
comment ce livre bilingue ,,Le Api
Morte-Les Abeilles Mortes’’ se trouve dans
mes mains. Ce livre traduit par
Teodora Stanciu, traductrice roumaine, est paru en Italie et il est écrit par
Paolo Mele qui a inséré aussi des poèmes
qui rend hommage aux femmes du monde, dont des poèmes d’huit poètes de
Timishoara.
Depuis sa fondation il y a 5 ans, ce
mouvement mondial ,, L’Association de
lutte contre la violence sur les femmes’’, a accueilli beaucoup des adeptes.
Paolo Mele ,le président de cette
Association dans Italie est un réputé
avocat, Conseilleur national, délégué
national de l’Association Nationale Marinai-Italia, et aussi l’avocat de
la Marine Vénitienne. Il travaille depuis 1976, la fin des ses études à Naples.
Il est aussi écrivain, publiciste, poète et un avocat réputé. Il a un fils,
Paolo Mele junior, aussi avocat.
À Vicenza il fonctionne un Comité directeur, ,,Les Quatre’’ sur la lutte contre la violence sur les
femmes. Ce Comité se compose de quatre
personnes, le président l’avocat Paolo
Mele et trois dames, dont une est Téodora Stanciu, écrivaine et traductrice de
ce livre et professeure de Bukarest-Roumanie.
Le Monsieur Paolo Mele et un préconiseur de l’action d’établir des étroites liaisons entre la
ville de Vicenza avec la ville Timishoara de Roumanie.
Comme on sait Vicenza a été presque entièrement bâtie et restaurée dans
sa beauté par l’artiste et architecte Andreea
Palladio, seisième siècle, 1508-1580. cet artiste né à Padova –Espagne,
a vécu à Vicenza-Italie. Aujourd’hui, ses œuvres édiltaires, ses palais, Les
grandes œuvres, sont en pleine
SPLENDEUR. Maintenant la ville Vicenza est prise entièrement comme une
grande œuvre de patrimoine universelle,
dans le catalogue d’UNESCO.
Pour Timishoara, avec ses 180 d’objectifs historiques et d’art, ce serait un merveilleux sentiment d’unir leur
visions dans un échange d’impressions de culture, et peut-être sur plusieurs
plans, musées, tourisme organisé vers Vicenza, ce renommé musée européen.
Il y a peut-être des voix qui dissent: ,, les vestiges valeureux de
Timishoara ont été bâties par les Austro-Hongrie, sous l’Empire des Habsbourgs,
mais ils viennent d’éluder le fait que
les roumains, la majorité de la population et les minorités ethniques de ces
lieux ont subi les taxes, les lourds impôts et le travail pour l’élévation de
ces objectifs et édifices valeureux, de
ce coin du pays, de l’ancienne Dacie, tant de temps dominé par des forces
étrangères.
Ce
livre ,,Le Api Morte’’ de Paolo Mele, a soixante pages et par l’altruisme et la
considération de la cause féminine acclamée, il a permit aux dames suivantes d
avoir leur poèmes inclus dans ce livre Paolo Mele, Doina Dragan, Mariana Strunga, Melania Rusu Caragioiu, Ionela Andrada Dobrei, Titina Nica Tzene, Ana Caia, Rada
Rajic Ristic
et
M. Ioan Corneliu Iovutza.
Les poèmes de l’auteur Paolo Mele incitent
d’abord par la thématique généreuse, de défendre la femme. Son talent de poète
ici ajoute un romantisme quelque fois
juvénile, quelque fois très profonde pouvant atteindre une douleur presque
physique. En verses stylisés et bien arrondis il peut lancer des percepts
directs, persuasifs ou concis. Il peut jongler avec les belles images
suggestives, pleines de sa sagesse, sous les quelles nous trouvons
l’homme-avocat dans la branche, des
droits des gens.
Notre intuition trouve dans le dos de ces
réflexions poétiques, l’homme digne, respectueux, protecteur de chacune être
qui vit sur la terra, mais spécialement la femme –l’abeille exploitée et
plusieurs fois sans la récompense méritée. Le livre comprend des poèmes d’un
élevé sens artistique a cause de la finesse de formuler le raisonnement.
Leur
sensibilité réussir de nous induire le sens de la compassion et de la vérité
sur cette cause devenue primordiale, l’aide pour le prestige de la femme dans
le monde.
Nous, la société féminine
qui subit tant de privations pour porter haut et continuellement la flamme de
la famille, par la multitude de ses
aspectes conféré à nous, nous sommes profondément impressionnées par ce merveilleux
aide. De plus que cet aide vient de la parte d’une très grande personnalité,
Paolo Mele, qui exprime son sentiment et son adhésion à cette noble cause de sa haute tribune des
droit, des droits des femmes par sa voix
et par ses sensibles poèmes.
Dans nôtres réalisations,
quelque fois modestes, mais impérieusement nécessaires à la famille et a la
société, nous demandons par la voix de cette Organisation et à ceux qui la
représente, de nous accorder le respect, comme être humain et de nous être
reconnues nos mérites.
Aujourd’hui, à coté de
notre classique attribution , même esclavagiste
de faire face au trois
classiques kirche, kuche, kinder,
eglise, cuisine, enfants , nous sommes
partout dans la vie sociale. Mais pourquoi ça ?
Parce que nous portons sur nos épaules aussi
la tache de nos compagnons –hommes, décimés par tantes de guerres dans le monde. De ces hommes – héros, qui ont quitté la terre, dans la pleine force de
leur vie, en nous laissant leur lourdes taches sur nos épaules de faibles et si
occupées femmes.
Nous demandons l’aide,
respect et collaboration et d’être reconnues
comme d’êtres humains sur la
terra.
Ce livre est un document
et un cri dirigé vers la dignité de
chacun des hommes, de se respecter lui même, d’abord, par le sens qu’il
faut de détenir l’esprit du droit
sociale, morale et civique. Il
faut qu’il accepte de solutionner avec raisonnement les problèmes de la vie
aves ses petites ou grandes différends
de vie avec la femme. Il doit traiter seulement par la voie du dialogue ses
mécontentements occasionnels si la charriote de la famille doit s’arrêter
ou se défaire.
On donnera dans ce mode la chance à la femme –
à celle abeille qui partage sa vie par la maternité, famille, travail et personne
active dans la vie sociale.
Maintenant, je vous prie de me permettre de
vous lire de ce merveilleux livre, écrit par un réputé homme-avocat, puis je
continuerai de vous lire, aussi des poèmes dédiés à cette thème, des poèmes
écrits par notre groupe des femmes qui avons osé de publier ce que nous avons à
dire sur ce sensible et impérieux sujet.
Voici la Poésie
de Titina NIca Tzene en italien :
¸
ULTIMA FERMATA
L’autunno è tornato nei prati
qua e là si accende una
foglia,
le stagioni passano in
fretta
e cosi anche la mia vita.
La vita è come un treno
con vagoni infiniti
correndo sotto il
cielo azzurro
e cosi senza notare,
ti porta all’ultima
fermata.
Cogliere l’attimo, gioire
delle cose semplice, di un
fiore
ricordare ogni tanto,
che la vita, purtroppo, è
passeggera.
On voit ici, des voix engagées, en clamant
en vers pleins de la passion de la convaiquance, en lancant un cri de leur âme pour une bonne
entente pacifique dans le mond, pour la
bonne entente dans le sein des familles,
pour l’éducation, la tolérance et dans un mot pour tous les sentiments nobles
des humains.
Dans mon expose je vous ai présenté, en vous
racontant sur moi, sur les organismes et aussi sur les possibilités de venir
avec moi, à toutes les activités dont j’ai parlé, de lutter, de travailler
ensemble dans la grande famille montréalaise et internationale pour le progrès
de la culture, de la paix, pour les droits des gens et spécialement pour les
droites des femmes. Vous serez des bienvenues pour augmenter le nombre, si possible,
des gens de bien s’impliquant pour une juste cause des gens sur la terre.
Montreal, 2015
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